Demain nous appartient : Renaud, son coeur cesse de battre… Marianne perd l’homme de sa vie, William culpabilise.

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DNA : Marianne

Ici tout commence en avance avec le résumé détaillé de l’épisode 1688 du 17 mai 2024 : Georges ne dort pas beaucoup. Il se lève à plusieurs reprises à cause de Lucien. Au petit matin, Mélody s’excuse de ne pas l’avoir aidé la nuit dernière. Georges sait qu’elle travaille aujourd’hui et se montre compréhensif. Puis, il souligne qu’elle devait être fatiguée après son coaching de la veille avec Mona.

Georges indique ensuite à Mélody qu’elle n’est pas obligée de donner des cours à sa mère si cela la dérange. Il pense que Mona profite des séances pour questionner Mélody sur lui et leur couple puis émettre quelques commentaires. Mélody lui assure que ce n’est pas le cas.

Dans la journée, Georges passe au Spoon et avoue à Mona qu’il l’a vue hier sur la plage avec Mélody. Puis, il demande à sa mère de trouver un autre coach. Ce qu’il vit avec Mélody est précieux, et il n’a pas envie qu’elle vienne tout gâcher.

Un peu plus tard, Mélody passe au Spoon voir Mona, mais elle est déjà rentrée chez elle. Elle explique à Audrey qu’elle est un peu inquiète. Elle avait des séances prévues avec Mona, mais elle a tout annulé par texto. Audrey lui explique qu’elle a reçu la visite de Georges ce matin et qu’il lui a demandé d’arrêter les séances avec elle.

À la fin de la journée, Mona passe chez Georges chercher Mélody. Elles ont décidé d’aller au cinéma toutes les deux. Mona explique à son fils qu’elles ont décidé de trouver une autre activité à faire puisqu’il ne veut pas qu’elles fassent du sport ensemble. Mona ajoute qu’elle et Mélody s’entendent parfaitement et qu’elles n’ont pas besoin qu’il leur dise ce qu’elles ont le droit de faire ou ne pas faire. Quand Mélody rentre, Georges fait la tête. Elle en déduit qu’il est jaloux, car la vie de Mona ne tourne plus seulement autour de lui.

Chez les Roussel, Lizzie taquine Jordan au sujet de sa relation avec Violette. Elle lui fait remarquer que tout le monde est au courant de ses sentiments à son égard et se demande quand il va enfin agir. Jordan rappelle à sa sœur que Violette et lui sont de la même famille. Lizzie réplique en disant qu’ils n’ont aucun lien de parenté et souligne qu’ils formeraient un très joli couple. Jordan sourit et avoue à Lizzie qu’il s’interroge sur sa relation avec Violette.

Au lycée, Bastien explique à Violette qu’il aimerait créer une association basée sur l’entraide et l’écologie. Violette trouve que c’est une bonne idée, mais l’écoute ensuite d’une oreille distraite. Elle cherche Jordan du regard ce qui n’échappe pas à Bastien.

Dans la journée, Violette et Bastien distribuent des flyers à la sortie du lycée afin d’informer leurs camarades de la création de cette association. Violette en profite pour passer du temps avec Jordan. Elle lui explique dans les moindres détails en quoi consiste l’association. Il se propose de rédiger les statuts. Violette est ravie.

À l’hôpital, Renaud Dumaze s’interpose entre Malbec et William. Un coup de feu retentit. Karim, Nordine et leurs collègues du RAID font irruption dans la salle des internes. Le capitaine Saeed ordonne à Malbec de lâcher son arme. Ce dernier obéit et supplie Karim de ne pas tirer. Pendant ce temps, William est en train de comprimer la blessure de Renaud, touché par une balle dans la poitrine.

Le Dr Dumaze est rapidement transporté au bloc opératoire. Il a du mal à respirer. Renaud demande à Aaron de vérifier le péricarde. William lui conseille de se ménager et souligne qu’il est entre de bonnes mains. Marianne les rejoint et Aaron informe celle-ci qu’il emmène son époux pour une thoracotomie.

Renaud tente de rassurer son épouse en lui disant que tout se passera bien. William veut les accompagner jusqu’au bloc, mais Marianne lui demande de rentrer chez lui. Dans son état, il risque de gêner plutôt qu’autre chose. William avoue à Marianne que Malbec a pointé son arme sur lui et que Renaud s’est interposé. Il se dit désolé.

Le lendemain, Chloé et Alex sont en compagnie de Marianne à l’hôpital. Il est huit heures du matin et Renaud est toujours en salle d’opération. Chloé conseille à sa mère d’aller se reposer, car elle n’a pas dormi de la nuit. Marianne refuse de quitter l’hôpital tant qu’elle n’a pas de nouvelles de son mari.

Elle décide ensuite d’aller au bloc parce qu’elle n’en peut plus d’attendre. Alex pense que ce n’est pas une bonne idée parce que sa présence ne ferait qu’ajouter une pression supplémentaire à l’équipe médicale. Il estime qu’attendre est la seule chose à faire puis, il souligne que Renaud est un battant.

Non loin de là, chez les Daunier, William confie à Manon et Aurore qu’il culpabilise de ne pas être aux côtés de Renaud. Il se reproche ensuite de ne pas avoir su calmer Malbec et de ne pas avoir agi. Au lieu de cela, il est resté impuissant et le seul qui ait agi, c’est Renaud. Il lui a sauvé la vie et il risque de mourir.

Au commissariat, Roxane a une piste au sujet de la cavale des Curtis. Elle a obtenu les relevés des capitaineries espagnoles qu’ils surveillent et a trouvé un catamaran qui a été loué le 3 mai pour plusieurs jours. La location a été payée en espèces et le bateau n’a pas bougé depuis plusieurs jours. Martin contacte ses collègues espagnols afin qu’ils surveillent attentivement le bateau.

À l’hôpital, Marianne reçoit un appel du bloc. Renaud est tiré d’affaires. Marianne, Chloé et Alex sont soulagés. La nuit est tombée sur Sète. Aaron explique à Marianne et Chloé que l’hémostase lui a pris beaucoup de temps au cours de l’intervention. Les vaisseaux sanguins de Renaud étaient vraiment endommagés et il a dû faire de nombreuses sutures. Aaron ajoute qu’il va rester hospitalisé pendant plusieurs semaines.

Marianne aimerait voir son époux. Aaron lui explique qu’il est encore en phase de réveil et lui demande de ne pas rester longtemps. Marianne le remercie chaleureusement pour tout ce qu’il a fait, puis se rend au chevet de son époux. Elle fait une jolie déclaration d’amour à Renaud, et lui dit notamment qu’elle ne pourrait pas vivre sans lui.

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